Le jeu du poème

Quand la passion de la vie me dévore je met du piment sur mes efforts afin de rester vivant encore et encore

souffrir souffrir encore jusqu'à en désirer la mort

Je cours pour te retrouver, vers ton amour je cours sans tituber mais cet ennemi gris me suis et me poursuis. Ô toi, celle que j'aime pourquoi ne suis-je pas plus fort ? La lâcheté me hurle de reculer, de m'enfuir, de te laisser tomber...

j ai cet espoir inespérée que je pourrai une nouvelle fois t aimé j espère pouvoir te combler ne pas te faire regretter de m avoir pardonné

Mais est-ce que cette fuite un jour tu pourras l'oubliée ? Je n'ai pourtant aucune chance d'aimer une autre que toi ma destinée.

je ne peux m empeché de crié , crié pour ne pas abandonné crié pour un baisé crié pour t aimé

Je te sens t'approcher je ne puis que paniquer en cet instant je sens mon coeur m'échapper.
Je te sens t'approcher je sens la Terre vibrer annoncer ton arrivée.

j ai traversé les marrées les océans et les dunes glacées j ai marchés des heures et des journées tout ca pour te retrouver

Aujourd'hui je sens mes efforts récompensés je te sens proche, j'ai peur de tes reproches.

je veux que tu t accroches pour que je puise rêvé , pour que je puisse t aimé

Mais à quoi bon si ce n'est point réalité ? J'aime rêver de toi mais j'aimerais tant te prendre dans mes bras !

tu vivra , tu survivra et puis tu m oubliera

Ma plus grande peur est de te voir, toi que j'ai toujours cru à moi, auprès d'un sélérat.
J'aimerais que même sans ma présence ta fin soit belle, que jamais vers l'abîme tu ne penches.

je prendrais ma revanche je te survivrai des heures pour qu'un jour revienne le bonheur et que s arrête ton coeur

Si je ne puis t'avoir à mes côtés je préfère t'oublier, je ne puis attendre ton heure.

pleure oui pleure car jamais je ne t ouvrirai mon cœur je ne eux plus de tes malheurs

Je préfère partir toutes ces histoires me fatiguent je ne veux plus de cette vie horrible.

de flèche ma poitrine se crible je ne vois que la lumière qui se cache derrière ce tunnel des enfers

Je m'avance lentement je me lance mais j'entend cette voix qui m'appelle, qui pleure, qui me supplie de revenir vers cette vie qui m'épuise.

la nuit se profile au loin me murmurant avec chagrin que pour moi il n y aurait pas de lendemain

La mort me tend la main quand j'entend la voix faiblir... Mais d'ou viens cette envie de la suivre ?

poursuivre toujours plus loin ce chemin pour te demander ta main

Toujours plus loin monter dans ce train qui m'emmenera loin et pourtant jamais aussi près du lendemain. Si je ne puis t'avoir en vie j'irais te chercher dans ce monde de feu ou les démons rient.

je marche sous la pluie dans un silence de nuit je cours et je ri pour que tu quittes ma vie

Oui c'est un délire, je suis en train de mourrir je vois ma vie qui défile puis j'entend les médecins de l'armée crier "Il est reveillé !"

je suis en train de prié pour ce monde qui ne sait plus dans quel sens tourné pour qu il se laisse allé et qu'il ne se fasse pas dechiqueté

Je prie afin que la Terre sache dans quel sens tourner, que la paix règne à jamais, que le bonheur s'installe et qu'il baigne les rares êtres fiers : ceux qui savent ce qui est véritablement cher.

tu ne peux pas imagier a quel point tu m es cher lors de mes longues soirée d hiver pour to je brulerais la terre entière

Tu es mon bonheur éphemere, toute ses heures à penser à toi près de ce réverbere ce paysage qui me rappelle que bien que tu m'ai fais du mal je t'aime.

la vie est une chienne elle t entraine te laisse te blesse et te déteste elle te vieilli te sourit puis met fin a ta vie